L’attentat du lundi 16 octobre a suscité une émotion nationale bien compréhensible. Malheureusement, certain·es ont rapidement fait l’amalgame entre l’auteur des faits et l’ensemble des sans-papiers. Plusieurs collectifs de sans-papiers ont ainsi pris la plume pour dénoncer ce qu’ils considèrent être une criminalisation à leur égard et une déplorable généralisation des discours d’extrême-droite.