Démolir un immeuble aux performances énergétiques dépassées et insuffisantes pour reconstruire du neuf, dont l’empreinte carbone est peu élevée, et répondre ainsi à l’urgence climatique, telle est la tendance croissante des projets immobiliers récents.
Mais l’annonce est-elle si vertueuse que cela et, dans beaucoup de cas, n’est-il pas plus économe en énergie de privilégier la rénovation que de démolir pour reconstruire ?
Inter-Environnement Bruxelles (IEB) et l’Association du Quartier Léopold (AQL) ont voulu répondre à cette légitime interrogation en évaluant de façon pragmatique et robuste le bilan environnemental de cette pratique, exprimée en nombre d’années qu’il faudra pour amortir son coût énergétique.
Un nouveau projet s’invite dans votre quartier, vous êtes soucieux de l’empreinte carbone qu’il pourrait générer, la question climatique est au coeur de vos préoccupations ? Cet outil de calcul est le vôtre. Utilisez-le et faites-le connaître !
- IEB : Isabelle Marchal
- AQL : Marco Schmitt