D’ici 2020, Bruxelles devra héberger 140 000 habitants supplémentaires. Du coup, la Région ouvre certaines zones au logement. Une porte ouverte à la spéculation immobilière, une mauvaise réponse à la question sociale du boom démographique, estiment une série d’associations (dont IEB) dans une carte blanche, qui a été publiée sur le site du Soir le 2 juillet.
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