Depuis le vendredi 22 avril, l’accord sur le climat, obtenu à Paris en décembre, est ouvert à la ratification des États. L’association Climat et Justice sociale et un collectif de signataires, dont des représentants d’IEB, ont publié une carte blanche dans le journal Le Soir, qui constate qu’entre les intentions annoncées et les moyens mis en œuvre par les États pour les atteindre, il subsiste un gouffre. L’accord de Paris est à mille lieues de la justice climatique et de la transition juste revendiquées par les associations et les syndicats. Sauver le climat dépend plus que jamais de la mobilisation sociale.
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